• Pierre Ragadoni, est notre troisième personnage de ce roman, il ne travaille plus, depuis longtemps, il était vendeur dans une casse automobile de voitures d’occasion et de pièces détachée sur la côte à Antibes, Allée des Cigales. Il a la quarantaine. Le samedi, avec l’accord de son patron, il louait un terrain vague lui appartenant, pour soi-disant, effectuer des réparations sur sa voiture. Personne ne s’occupait de ce terrain, un enclos fermé, empêchais toutes vue. Très vite, il recevait ses complices, qui volaient des voitures de grandes marques, pour lui, qui était conduite sur le terrain et qu’il écoulait le soir en douce. Il recevait des appels téléphoniques même pendant ses heures de travail et faisait croire à son patron, que c’étais des clients soit, pour des pièces détachées ou pour des voitures d’occasions, mais en fait, c’était des clients riches, pas très regardant sur la provenance du véhicule qui lui commandaient un genre de voiture bien précis. Lorsqu’un client, lui demandait une voiture de telle ou telle marque, il répondait s’il ne l’avait pas, qu’il s’en occupait et aussitôt, téléphona à ses complice pour leurs demander de voler cette marque. Les prix, n’était pas ceux du marché. Si des voitures volées étaient sans papier, il les faisait lui-même le soir à son domicile, il avait tout le matériel, pour les faire très correctement. Parfois, il devait attendre assez longtemps avant de mettre un véhicule en circulation, car il avait été déclaré volé par son propriétaire 

    directement après le vol. Il gagnait de cette façon, qui n’est pas correcte évidemment, beaucoup d’argent. Un jour, la femme du patron, en partant pour faire ses courses, passa par le terrain en question, par hasard et tomba nez à nez sur deux voitures sortant du terrain vague, qu’elle savait loués par son employer, elle Le patron arriva sur les lieux un quart d’heure plus tard et son employer, dû bien avouer ce qu’il faisait de ses samedis. Il ne déposa pas plainte, parce qu’il était né dans la même ville que son employer et qu’il voulait lui donner une seconde chance, mais plus chez lui. Il fut licencié sur le champ, sans aucune indemnité.


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  • C'est la seule Société qui existe dans la rue ah non, j’oubliais, il y a une autre Société, spécialisée dans la création de bouteilles en tout genre, juste, avant le rond point. Albert est donc engagé pour une durée de trois mois, au salaire peu enviable mais, il n’y avait rien d’autre pour lui, Il commence donc sont travail dès le lendemain à huit heures pour classer des documents destinés aux chauffeurs, pour les tournées de la journée. De temps en temps, son responsable lui explique comment il doit procéder afin qu’il ne fasse pas d’erreur, car ce serait très ennuyeux pour les chauffeurs, qui risqueraient de se trouver à plusieurs sur la même tournée. Après une bonne semaine, Pierre connaît et son travail est fait avec minutie il est devenu très adroit dans le classement de ces tournées. Les chauffeurs, n’ont pas la même destination chaque jour, mais ils connaissent tous les clients par cœur, même, quelques chauffeurs, viennent lui dire bonjour avant de commencer leur journée. Son travail, lui plaît, il est content, Pierre est toujours avant tout le monde au travail, et peut prendre un café avant de commencer sa journée, le café est gratuit Il percevra son premier salaire dans quinze jours. Le deuxième personnage de cette histoire, s’appelle Albert le Guen, il travaille dans un restaurant appelé : La Tapenade, sur le vieux port de Nice, Boulevard Maeterlinck 57, depuis déjà plusieurs années, il est âgé de trente ans, il fait un service coupé, c'est-à-dire, qu’il commence sa journée à onze heures, pour terminer sont premier service vers quinze heures. Après avoir déjeuné en vitesse, il rentre chez lui, pour recommencer aux environs de dix huit heures et ce, jusqu’à 23,30 heures, six jours sur sept. Il est tout seul en cuisine, fait aussi bien le froid que le chaud, ainsi que la plonge. Dans beaucoup de petits restaurants, et pour faire des économies, les patrons engagent le plus souvent des gens qui peuvent faire tout à la fois en étant payés, pas exactement pour tout ce qu’ils doivent faire sur la journée mais c’est comme cela. Albert, connaît beaucoup de chose en cuisine, mais il ne peut pas faire ce qu’il veut, car la carte étant toujours la même, le patron ne veut, ou n’ose pas la changer parce que s’il autorise au cuisinier des plats à lui qu’il connaît bien, quand Albert est en congé, le patron se retrouverait dans une situation difficile, vu que souvent, les petits patrons ne connaissent rien en cuisine. Le midi, ce sont beaucoup de plats du jour qui sont commandés par les clients quelques, fois, il arrive qu’Albert est dans le jus en terme de métier, ce qui veut dire tout simplement débordé par le nombre de clients qui arrivent tous en même temps. Le soir, son travail est plus simple, moins stressant, il y a moins de clients que le midi et les gens sont plus aisés.


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  • Voila, tous les acteurs sont plantés dans le décor, mais je vais quand même commencer par le début .

     Dès l’âge de 16 ans, au sortir de l’école primaire, Albert Saint Louis,faute de pouvoir faire des études supérieure, car ses parents n’ont pas les moyens, le père âgé de 65 ans, tout juste pensionné et malade, a travaillé toute sa vie dans les mines de charbon, il touche une toute petite pension. La mère, qui fait, pour subvenir aux besoins du ménage âgée de 40 ans travaille toujours, elle est femme de ménage et le fils, donc, ce voit contraint de chercher du travail. Sans aucun bagage solide, il ne sait même pas comment rédiger un curriculum vitae, consulte donc les petites annonces. Il cherche du travail, mais, à cet âge et sans expérience aucune, commence à faire la série des recherches, pour trouver un travail, parcourant d’innombrable KM en transport en commun il ne redoute aucun entretien d’embauche, il est sur de lui, il ne connaît pas le marché de l’emploi. Il se présente donc, à son premier rendez-vous, dans une entreprise de bâtiment, malheureusement le chef d’entreprise n’a pas précisé au téléphone, qu’il cherchait des personnes âgées de 20 ans au moins et c’est bredouille que Pierre rentre à la maison, ses parents, qui comptaient sur lui, pour améliorer leur quotidien, sont un peu fâchés, tu n’es qu’un bon à rien mais tu en trouveras du boulot sinon tu peux faire tes bagages et dehors. C’est triste et désespéré, que Pierre, monte dans sa chambre, il n’a pas faim. Après plusieurs essais infructueux enfin, après six mois de désespoir, il décroche un travail en CDD (contrat à durée déterminé) il est engagé, dans une entreprise de transport à Antibes, l’Express de la route, Avenue Mirabeau au 18,


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